• Edito

    Le 12 avril 2021, La Dérive est devenue La Nouvelle Dérive. Quelle histoire pour un petit adjectif ajouté! Un petit adjectif qui, avec ses deux “l” , ou deux ailes,  a envie d’apporter un nouvel élan à la Dérive, sans rien lui enlever de sa belle nonchalance. Ici, en effet, dans cette petite librairie indépendante de quartier, on va continuer à vous laisser dériver vers des terres connues ou inconnues, en toute liberté. 

    La porte est ouverte (sauf en cas de grand froid ou de pluie battante), et elle invite à faire le détour, se laisser tenter, pour partir en livres…

     

    Alors que va-t-on trouver à la Nouvelle Dérive?

     

    De la littérature, encore et toujours. Les nouveautés, les premiers romans, les livres culte, les livres que nous aimons et que nous voulons que vous lisiez, les livres dont on parle beaucoup et ceux qui existent dans l’ombre et pour lesquels c’est notre mission de les porter vers vous, lecteurs. 

     

    Parce que c’est Grenoble, parce que c’était Yves Baruffaldi, parce que j’en rêve, on y trouve un rayon bien développé sur l’Italie: des romans, des polars, des livres d’art, de cuisine, pour la jeunesse, et des livres en italien.

     

    Parce que c’est Grenoble, on y trouve aussi un rayon Montagne et Récits de voyage, complété par des livres sur le patrimoine grenoblois et dauphinois, en livres neufs ou en livres d’occasion. Ca c’est une nouveauté!!

     

    On trouve toujours des livres de sciences humaines, psycho, socio, philo, sciences de l’éducation. Les étudiants et les professionnels de ces domaines savent que la librairie est “pointue” dans ce domaine.

     

    De même, la librairie entretient des liens étroits avec l’école d’Architecture et possède un fonds important et actualisé de livres d’architecture. 

     

    On y trouve aussi des essais sur des thèmes d’actualité qui permettent d’alimenter la réflexion sur le monde dans lequel nous vivons: féminisme, anti-racisme, écologie, santé par exemple. Et c’est promis, nous allons sélectionner soigneusement les essais proposés sur le thème du confinement ou de la pandémie pour éviter l’overdose.  

     

    Parent pauvre de la littérature, la poésie est souvent reléguée dans les coins obscurs et inatteignables, mais nous croyons en son pouvoir et nous allons lui donner une belle place..


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